Bonjour/bonsoir
En tant que membre de la faction Phoenix, je vais vous faire un RP racontant ce que j'était avant et comment je suis arrivé la. bien-sûr cette histoire est imaginaire hein.
J'invite tous les autres membres de la faction Phoenix à faire de même en créant un nouveau post dans "Accueil, Faction et Règlement" faire leur rp et mettre le lien de leur rp en commentaire ici ;)
Maintenant, place au rp. Étant donné qu'il est long, je le ferai en plusieurs partie, une partie tous les 2 jours.
Au début les chapitre sont court mais ils vont devenir long au fur et à mesure.
Prologue
je m'éveillait peu à peu, je sentait le vent frai qui me sifflait aux oreilles, j'était allongé par terre et j'entendais le bruit des vagues de la mer. Mais, où suis je? Pourquoi suis je allongé au bord de la mer? Que c'est il passé? Je n'ai aucun souvenir de rien. Même pas d'être né. Étrange...
Je senti quelque chose me lécher le visage doucement et tendrement
Chapitre 1: Mon réveil
J'ouvris les yeux, je vis le ciel d'un bleu céleste, et quelques petites nuages. Je ne sais pas que est ce que je fais la, ni ce que je vais faire, alors, sans avoir envie de connaître la suite, je resta la, à admirer le ciel.
Après quelques minutes, ou quelques heures, je ne sais pas, mon ventre me fit mal, j'avais faim... je soupira et me leva, je regarda autour de moi, j'était sur une île, assez grande, perdu au milieu de l'océan... que vais je faire? J'était sur la plage, devant moi s'étendait une petite plaine, de l'autre côté de cette plaine se dressait une petite forêt. je sentit quelque chose sur ma main, je tourna ma tête pour voir, et je vis un cheval. Il était brun, il était beau, il était doux, et il me regardait. Je l'aimait déjà.
Chapitre 2: Je doit me nourrir
mon ventre me faisait encore mal, il me fallait manger. Il y avait des cochons dans la plaine, je pourrais me nourrir de viande. je fis un pas et je me pris le pied dans un coffre, je ne l'avais pas vu, pourquoi il y a t il un coffre sur une île? peut être pour la même raison que moi... sans plus attendre, je l'ouvris. J'y trouva une hache, des planches et de la pierre. J'aurais préféré de la nourriture...
Le ciel s'assombrit, il commença a faire nuit, il me fallait un feu de camp. Je couru à un arbre de la forêt pour ramasser des branches. Durant la récolte, je fus frappé à la tête, par une pomme qui tomba par terre. J'allais la prendre pour la manger, quand je vis qu'elle était trouée de toute part par un asticot, et un côté était moisie, alors je ma pris pour la jeter dans la mer, mais j'avais faim, très faim...
Après avoir mangé la pomme et récolté les branches, je disposa les branches par terre. Tout était prêt, il ne restait plus qu'à faire le feu. Ah oui, le feu. Je ne sais pas comment faire de feu...il faut des pierres, ça je le sais, mais après...
Je ramassa des pierres et les frotta, après plusieurs essais, aucune étincelle...
Soudain, J'entendis des grognements sourds derrière les arbres, des zombies approchèrent d'un pas lent. Effrayé, je me leva et couru vers la plage en prenant un bâton pour seul défense.
Je regarda les zombies s'approcher, j'aillais mourir, j'en était sûr. Avec un fond d'espoir, je leva ma pauvre branche, et frappa de toute mes forces le zombie le plus proche, je l'avais assommé, quel coup de bol. Mais deux autres arrivèrent, c'était foutu. Je leva ma branche une deuxième fois, mais une violente douleur me pris le bras, un zombie m'avait mordu. J'haletais bruyamment, je recula doucement, la douleur était horrible. Je tomba sur la plage, tout s'assombrit, tout devint noir, tout devint froid...
J'entendis des cris de douleur, pas de moi mais des zombies, puis, plus rien...
Effectivement sympa :) mais tu devrais garder le meme registre (niveau d'ecriture(soutenu courant familier)) et... Bon je vais pas faire mon prof de francais en redaction mais il est tres joli on s'imagine aussi assez bien le paysage.
Continue ainsi ;)
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Merci ça fait plaisir surtout que c'est mon premier rp ;)
IL est pas mal mais attention aux répétitions et surtout aux fautes d'accord passé simple/imparfait. Sinon un début encourageant.
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Arf c'est vrai alors pour info ;) (comme ça qu'y seront encore plus beau) l'imparfait sert à la description : "il avait de grands yeux noirs et une bouche déformée sur un rictus hargneux."
Et le passé simple pour l'action "je tendis alors mon bras pour parer le coup et, à ma contre-attaque, son corps tomba dans la boue sa tête elle tomba à coté et roula jusqu'à mes pieds il en jaillissait encore un torrent écarlate qui souillait le sol." (double exemple la ;))
Bon je m'étais promis de pas faire le prof c'est raté.... sinon moi j'attends la suite!
La suite la suite la suite! (oui je suis un peu puéril parfois mais bon....) la suite la suite la suite la suite!
Ah et dsl pour le deuxième exemple il est un peu gore :s mais bon ça illustre bien quoi
Dernière modification par Aguigou (27/09/2014 22:29:33)
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Chapitre 3: le cochon
Je me réveilla en sursaut, leva ma tête et regarda autour de moi. Je vis le cheval brun devant moi, un sabot sur un cadavre. Je me pencha sur le cadavre, sa tête était desséchée, ses dents jaunes sortaient de sa bouche, c'était l'un des zombie de cette nuit, le cheval m'avait sauvé. Je me releva et le serra dans mes bras. Mon épaule ne me faisait plus mal, mais mon ventre si, je n'ai mangé qu'une pomme depuis hier.
Je m'empressa de prendre ma hache pour aller tuer un cochon. Je m'approcha du plus proche, sauta dessus et le mis sur le dos. Je brandis ma hache en l'air, et l'abattis sur la gorge de l'animal.
Le cochon poussa un cri et me regarda, je vis ses yeux qui me fixaient d'un air de pitié, puis, l'étincelle de vie qui brillait dans ses yeux s'éteignit peu à peu.
Une larme coula sur ma joue, je venait de tuer ce cochon. Je pleura.
Mon ventre me faisait de plus en plus mal, alors sans perdre plus de temps je dépeça le cochon pour en extraire ce qui ce mange.
Je posa la viande sur les branches que j'avais disposées hier pour le feu, pris deux pierres et les frotta, pendant plusieurs minutes. Une étincelle se dégagea des pierres, et une flamme ardente scintilla.
Pendant que la viande cuisait, je coupa quelque arbre avec ma hache émoussée pour faire un abris. Je pris plusieurs branches de même tailles et les planta dans le sol les uns à côté des autres pour faire les murs, puis, je fit un toit plat avec des bâton tapissés de feuilles. Et voilà ma petite cabane pour la nuit. Dedans je mis mon coffre et une petite table que je fis modestement.
Puis je mangea une partie du cochon, enfin de la bonne nourriture.
Chapitre 4: La revanche
La nuit tomba, il faisait presque nuit noir, et moi j'était encore dehors, je n'avais pas vu le temps passé. J'entendis déjà les bruits des zombies, Je couru de toutes mes jambes jusqu'à mon abris, mais je fus envahi d'un douleur extrême à la jambe. Je tomba à terre, c'était une flèche, tirée par un de mes poursuivant, un corp sans chair, un squelette. Elle était profondément encrée dans ma jambe. Je vis les zombies approcher, je pris ma hache et la lança sur l'un d'entre eux, qui s'écroula. La douleur de ma jambe s'apaisa peu à peu, alors je me releva et courra dans mon abris en fermant la porte derrière moi. Ma jambe ne me faisait plus mal, ma blessure se referma doucement, et ma force me revenait. Je me senti fort, alors je pris une grande inspiration, et j'ouvrit la porte. Je couru vers ma hache, plantée dans la poitrine d'un zombie étalé à terre. Un autre zombie me mordit l'épaule, je tomba par terre, pris ma hache et le frappa à la jambe. Je me releva et l'acheva. Le squelette tira une seconde flèche qui me frôla l'oreille dans un sifflement aigu. Je m'apprêta à l'attaquer quand il se fut écraser par le sabot du cheval. Les os le composant tombèrent a terre lourdement en se détachant les uns des autres. Mes lèvres tracèrent un sourire, je m'élança vers lui et le monta. Il ne manifesta aucun signe de refus. Je galopa vers les zombies et abattit ma hache sur le crâne du plus proche. J'étais heureux, s'était la revanche.
Durant les jours suivants, je me fit une meilleure arme, une armure, une maison et un enclos pour pil-poil mon cheval.
Prochain chapitre dans 2 jours.
Vraiment magnifique RP :)
Cordialement et Amicalemnt,
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Et oui, je suis rédacteur chez fr-m et j'en suis fière !
Je répond maintenant sous le pseudo de McFreestyles.
Tu as un peu trop pris au pied de la lettre xd a peu pres tout le debut aurait (je pense) du etre mis a l'imparfait ;)
Mais ca n'enleve en rien l'excellence du recit !
J'adore !
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Pour cette fois il n'y a qu'un seul chapitre, et pour cause je n'ai pas fini le chapitre 6. Vous n'aurez donc que le 5 pour l'instant. Le chapitre 6 viendra ce weekend peut être avant, et il sera plus long que les précédents.
Chapitre 5: La famine
Les mois passèrent lentement. Tout semblait arrangé depuis mon apparition ici, mais ce n'est pas le cas. J'eu très vite un problème, le même problème que depuis mon apparition: la nourriture. Et oui, à par quelques cochons de moins en moins nombreux, il n'y a rien a manger sur une île.
Ma première solution a été de faire un élevage, mais les petits cochons ne grandissaient pas assez vite.
Les jours passèrent et la faim augmentait, devenant de plus en plus terrible. Désespérément, je commença à manger des racines. Pensif, je m'asseyais sur le sable et regardait les poissons nager en rond dans l'eau. Soudain, je bondit dans l'eau pour en attraper un. Je me releva, entièrement trempé. J'ouvris ma main pour voir ma prise. Rien. Je n'ai pas réussis à l'attraper. Je tenta une 2ème fois, sans succès.
Au bout d'un trentaine de fois, j'attrapa un saumon. Ma faim était tel que je le croqua avant même de le cuir.
Pendant des semaines, je me nourrissait de poissons et de racines. Je me mis à faire comme pil-poil, je mangeait de l'herbe.
C'était la fin, je ne pourrais pas tenir plus longtemps sans manger autre chose. J'ai même songé à manger mon fidèle chevall. Mais je ne pouvais pas lui faire ça.
Un jour, je décida de quitter mon île avec lui, pour espéré trouver un autre endroit où il y aurait à manger. Je rentra dans ma cabane, pris ma vieille hache, et j'abattis les arbres un par un, j'en fit des planches, puis un radeau que je mis sur l'eau.
Une fois près, je monta dessus avec pil-poil. Mais le radeau était trop fragile pour mon cheval, et il se cassa en deux. Je tomba entièrement dans l'eau, puis me releva et regarda pil-poil. Je ne pouvais pas l'emporter. Je le regarda tristement en laissant couler une larme, il comprit ce qui arrivait, et il fit demi-tour vers la cabane. Je remonta sur le radeau et prit une planche en guise de rame, puis je navigua vers l'horizon.
Dernière modification par GabRay (01/10/2014 14:20:27)
Le chapitre 6 qui était prévu pour ce week-end est terminé
Il sera donc la demain soir. Le chapitre 7 est en écriture et risque d'être long, à voir si je le divise en plusieurs chapitre.
Chapitre 6: Errance
Les vagues m'emportèrent loin vers les horizons inconnus. L'île de laquelle je venais était maintenant qu'un petit point noir sur les vagues, puis bientôt elle disparut complètement. J'était parti, et je n'avais plus aucune chance de revenir. Le temps me paraissait rallongé, quand la nuit tomba j'avais l'impression d'être la, à flotté au milieu de l'océan depuis trois jours. Je n'avais pas pris de provisions pour la route, ne m'attendant pas à ce que ce soit si long.
J'avais faim, j'avais froid, j'était trempé, j'avais mal… j'allais mourrir…
Le lendemain matin, quand je me réveilla, j'étais sur une plage, une âge que je ne connaissait pas. Je me leva, m'apprêtant à voir de belles plaines, des animaux, de La nourriture, des paysans. Mais au lieu de ça, je vis un désert, un grand désert qui s'étendait jusqu'à perte de vue.
Désespéré, je me mis en route. J'avais toujours aussi faim mais aucun chance de trouver quelque chose à me mettre sous la dent ici.
Je marchait depuis quelques heures, l'après midi était déjà bien avancé quand je vis des formes bouger au loin. Je me rapprocha pour mieux voir. Trois hommes, vêtus de léger tissu et armés jusqu'aux dents, s'approchaient de moi. Je fus d'abord étonné de les voir, n'était les premiers hommes que j'ai vu jusqu'ici. Je courra vers eux me croyant sauvé. Mais quand il me virent, il firent un bond en arrière avec une expression d'étonnement mélangée à de la peur. Pourquoi avaient ils peur de moi? Je n'eu pas le temps d'y réfléchir quand ils dégainèrent leurs armes et se mirent à courir sauvagement vers moi. Je ne comprenait pas ce qu'il se passait, mais les jambes comprenaient très bien qu'il fallait s'enfuir. Je suivaient son mes jambes et m'enfuyais dans la direction opposée, vers les collines incessantes.
Même en fin d'après-midi, la chaleur était tel que je ne pouvais plus courir dans mourir de soif. Je me retourna et constata que mes poursuivants avaient abandonné. Accablé, je m'écroule à terre et tacha de me reposer et réfléchir.
Pourquoi avaient ils peur de moi? Il avaient l'air de le connaître assez pour me craindre. Non ça ne pouvait pas être ça, ils avaient dû se tromper de personne, impossible que quelqu'un me connaisse. Sans trouver de réponse à ma question, je me releva et continua à marche.
Le soleil baissait et la nuit approchait quand, alors que je croyais tout perdu, je vis la cime de quelques arbres dépassant des dunes de sable. C'est bon ! Enfin je suis sorti de ce désert interminable. Je rejoignais les arbres d'un pas lourd. J'étais tellement fatigué. J'avais tellement soif. J'atteins un lac dans une petite prairie à la lisière d'une forêt. Sans réfléchir, je plongea tout mon corps dans le lac et le buvais jusqu'à plus soif.
La nuit tombait et je serai bientôt confronté aux monstres nocturnes. Fort heureusement j'avais mon épée, attachée dans mon dos par du lierre. Mais je ne pouvais par passer la nuit à combattre les monstres. Je devais me reposer.
Je n'avais pas le temps de faire un abris, j'apercevais déjà des ombres lentes s'approcher de moi. Je grimpa à une arbre, le plus haut. Sans trop de mal, j'atteignais les branches les plus hautes et, une fois d'être sûr qu'on ne pouvait pas m'apercevoir du sol, je m'installa sur une branche à peu près droite, et planta mon épée à coté de mon épaule pour pouvoir m'appuyer sur le plat de la lame pour ne pas tomber.
Bonne Nouvelle !
Après un petit ( grand ? X) ) retard, le chapitre 7 est terminé ! Encore plus long que le 6 !
Je viens de le finr, le chapitre 8 aura donc lui aussi du retard
Afin de vous réserver du suspens, je le posterai demain matin
Bonne lecture !
Dernière modification par GabRay (16/10/2014 23:21:20)
Comme prévu, le chapitre 7 est la :) encore plus long.
Bonne lecture.
Chapitre 7: Mystère
Je fus tiré du sommeil par un cri de femme. Je sursauta, mon cœur battait à toute vitesse. Je décrocha mon épée pour l'attacher dans mon dos, puis je sauta de branche en branche pour revenir au sol. Je courra dans la direction du cri. Arrivé à une clairière dans la forêt, je vis une femme menacée par un homme armé jusqu'au dent, pareil que ceux dans le désert. Je pris mon épée et fonça sur le soldat en lui transperçant le ventre. La femme me regarda d'un air étonné.
"Vous êtes la ! Tous n'est pas perdu, il reste encore de l'espoir ! "
Tchac ! Une flèche frappa la femme au ventre. Je le retourna et je vis trois autres hommes armées courant vers moi, brandissant leurs épées. Je dis demi tour, la femme était par terre, morte. Je courra pour échapper aux soldats. Je fus giflé par des branches et des ronces, mon visage était meurtri mais je continua de courir. Deux cents mètres plus loin, j'arrivais à une autre clairière où se trouvait un camp et des corps, la femme venait peut être de là. J'était trop fatigué et affamé pour courir plus longtemps, alors je sauta dans un buisson pour me cacher. Les soldats arrivèrent et regardèrent dans tous les sens. L'un des s'écria d'un air terrifié.
" Retrouvez le ! S'il a survécu, il est peut être pas le seul, les autres aussi on pu survivre ! Il faut absolument les retrouver ! "
Puis ils se dispersèrent, chacun dans une direction. Une fois sûr qu'ils ne étaient plus là, je le releva. Je ne comprenait décidément rien. Je représente l'espoir de la femme et la crainte des soldats. De quoi parlaient ils ? De quoi avais je survécu ? C'est qui les autres ? Si tous ce monde me connais, c'est que ce n'était pas un hasard si j'était sur cette île. J'avais eu une vie avant, et apparement importante. Ces soldats venaient forcément de quelque part. Je décida donc d'aller en ville pour résoudre ce mystère.
Sur le camp, je vis de la viande cuisant au dessus du feu. Je bondis dessus et la mangea jusqu'à l'os. Elle était délicieuse.
Repus, je pris un vêtement à capuche ainsi que quelques pièces sur l'une des femmes, puis je reprenais ma route dans une direction totalement aléatoire.
Je ne mis pas très longtemps à trouver une route menant à une ville. A plusieurs reprises je croisa des soldats, et à chaque fois il ne me suffisait que de baisser mon capuchon pour ne pas me faire remarquer.
Au début de l'après midi, j'arrivais dans un village sur la route. J'en profita pour passer à la taverne et manger. Quand je rentra, il n'y avait pas beaucoup de monde. Un serveur, quelques clients et quatre soldats. Je m'asseyais à une table et commandait quand quelqu'un vint s'assoir près de moi. J'avais beau baisser mon capuchon, il me fixait d'un air incrédule, puis soudain s'écria:
"C'est vous ! La légende disait vraie, vous avez survécu !?
-chuuuut ! Dis-je, je ne dois pas me faire repéré par les soldats.
-oui, pardon ! Mais maintenant, vous allez nous sauvez ! N'est ce pas?
-pardon ? Sauvez qui ?
-nous !
-qui "vous" ?
-ben, le peuple voyons !
-le peuple ? Quel peuple ?
-....?"
Il pris un air apeuré, comme s'il voyait sa famille mourir devant lui.
"Ils ont réussis... Soupira t-il.
-réussis quoi?
-quel est votre dernier souvenir ?
-m'être réveillé sur une île. "
Son visage forma une expression de désespoir.
"Ils l'ont fait...
-qui? Ils ont fait quoi? Que c'est il passé ?
-Je ne peux pas vous le dire ! Pleura t-il. Ils vont me tuer sinon.
-S'il vous plait ! J'ai besoin de savoir !
Soudain il se leva.
-retournez en ville, retrouvez Pyrial et les autres, et rétablissez la paix. "
Il sortit en vitesse de la taverne en me laissant seul, et on le servi mon repas.
Qui était Pyrial et les autres ? De quoi parlait il ? Encore plein de nouvelles questions, et jamais de réponses...
En tout cas ce qui est sûr c'est que ce n'était pas un hasard si je l'était retrouvé sur cette île. On m'y avait emmené. Si il m'a dit de rétablir la paix, c'est que nous somme en guerre. Pyrial et les autres doivent être les autres survivant... peut être...
Après avoir demandé ma route, je parti pour la ville, où j'espérais trouver enfin des réponses à mes nombreuses questions. Bien sûr la route n'était pas sans encombre, plus je me rapprochait de la ville, plus il y avait de gardes. A de nombreuses reprises je devais m'éloigner de la route pour ne pas risquer de me faire prendre.
Après quelques heures de marche, la nuit tomba. La route sur laquelle j'était n'était qu'à une centaine de pas la forêt, je décida donc de passer une seconde nuit dans un arbre. Je marchais alors vers la forêt. Arrivé au pied d'un arbre, je fus surpris par un bruit que je n'avais jamais entendu jusqu'à maintenant. Je me tourna vers la direction du bruit et je vis quelque chose bouger entre les buissons. C'était une poule, elle marchait paisiblement sur les feuilles mortes. Soudain, un flèche vint frapper la poule dans un sifflement aigu. Sans réfléchir, je sauta à terre, en m'attendant à attendre une autre flèche. Au lieu de ça, j'entendis des applaudissements, qui ne durèrent pas longtemps, puis quelqu'un marchant d'un pas pressé vers la poule étalée dans l'herbe, immobile. Un soldat vint vers la poule, et se baissa sur elle, à trois pas de moi. Il retira la flèche et la jeta par terre juste à côté de moi, sans me remarquer, puis il prit la poule dans ses grosses mains vêtues de gants, et l'examinât. Sa tête n'était qu'à quelques pouces de la mienne, et je pouvais sentir son souffle lent et régulier. Tout à coup, le soldat poussa un cri de douleur, puis tomba à terre, ses deux mains serrant une vieille flèche plantée dans sa poitrine. Je me tourna, et, je vis avec effroi le tireur. C'était un squelette humain, sans peau ni chair, aucun muscle ou tendon pour bouger ses membres. Il était équipé d'un arc. Je ne bougea pas, de peur qu'il me remarque. Le squelette s'approcha des autres soldats, ceux qui applaudissaient. Les soldats dégainèrent leurs armes. Une fois le squelette assez loin, je me leva, pris la poule, l'arc du soldats et des flèches, et courus en direction de la route. Une fois dessus, je me retourna et je vis trois zombies approchant d'un pas lent et irrégulier, oscillant de droite à gauche. Je dégainait donc mon épée quand soudain les zombies s'arrêtèrent et fixèrent le sol à leurs pieds. Je regarda moi aussi et vis quelque chose que je n'avais pas remarqué avant. La route été bordée par des petits cylindres de fer ne faisant pas plus d'un pied de haut. À l'approche des zombies, ces cylindres chauffèrent jusqu'au rouge, et les zombies commencèrent à dégager de la fumée, puis ils retournèrent dans la forêt. Soulagé, je continua ma route vers la ville, étant donné que je ne pouvais plus aller dormir dans un arbre sans me faire attaquer, les monstres avaient déjà envahis toutes la forêt.
Quelques dizaines de minutes plus tard, il n'y avait plus de monstres aux alentours, je monta donc à un arbre et m'installa pour dormir.
Au matin, je fus tiré du sommeil par des bruits de fracas sur de la roche. Je descendus de mon arbre et continua la route, qui se rapprochait des bruits. Après une petite colline, j'arrivais à une plaine, où des hommes creusaient dans un énorme trou en cylindre, une mine. Ces hommes devaient être des bagnards, ou des esclaves, ils devait y en avoir plus d'un centaine, tous vêtus de fins vêtement déchirés. Ils transpiraient de tout leur corps, tous accablés par la fatigue. Certains avaient même des traces de fouets déchirant la peau. Ils étaient surveillés par une trentaine de soldats encore mieux armés que les derniers que j'avais croisés.
A mon approche, deux gardes s'avancèrent vers moi, prêts à dégainer. Je compris que c'était une zone privée, alors je continua la route sans perdre plus de temps.
Un peu plus tard, la route passa entre quelques arbres, puis déboucha sur une immense plaine, où se dressait un immense et magnifique château.
Plus précisément, c'était une ville, emplie de bâtiments en pierre plus magnifiques les uns que les autres. Cette ville était cerclée d'une muraille incroyablement haute et épaisse, incroyablement belle. Cette muraille de pierre parfaitement taillées et alignées, ne manquait d'aucune décoration. Entre les sculptures, les meurtrières très bien camouflées, les pierres brillant au soleil et une défense imparable, il y avait largement de quoi impressionner un empereur.
Au milieu de la muraille, entre deux hautes tours, se dressait la grande porte. A l'extérieur de l'enceinte, la plaine était parsemée d'habitations et commerces, ainsi qu'une petite église et un cimetière.
Enfin ! J'était enfin arrivé à la destination, j'aillais enfin trouver des réponses. Derrières ces murailles se trouvaient certainement Pyrial, avec mes réponses, des solutions, et peut être même le chemin vers la paix.
Dernière modification par GabRay (17/10/2014 20:11:55)
Chapitre 8 en cours d'écriture.
Je rappel: J'invite tous les membre de la confrérie Phoenix à faire un RP en rapport avec la faction, qu'il soit petit ou gigantesque ;)
Le chapitre 8 arrive bientôt !
Son retard est du à un arret d'écriture, puis aussi à la longueur.
Étant donné que ce chapitre n'est pas encore fini, je l'ai divisé en plusieurs Parties.
Le chapitre 8 Partie 1 sera posté demain soir.
Merci pour vos commentaires positifs, c'est mon tout premier RP.
Chapitre 8: Les enfants du Phoenix.
Partie 1: Le vieux fou.
Je sauta de joie, après tous ce temps, enfin...
Maintenant, reste à savoir où aller. Pour commencer, une auberge, j'étais fatigué et affamé. Il me restait 3 pièces d'argent et 2 pièces de bronze que j'avais récupérées sur les femmes mortes au camp. Je descendus la colline qui menait au village. Quelque chose qui m'étonnait, tous les habitants marchaient d'un pas lent, la tête baissée. A l'approche de gardes -nombreux-, ils baissaient la tête encore plus bas et s'éloignaient.
Je parcourus les petites rues du village en cherchant une taverne pour souper. J'en trouva une sans difficulté, son toit était beaucoup plus haut que les autres bâtiments. Je regarda la plaque se balançant lentement de gauche à droite au dessus de la porte:
Auberge
L'ivre-mort
Confrérie Phoenix
L'inscription barrée m'évoque quelque chose. J'avais déjà vu ça quelque part, j'en étais sûr. Mais impossible de me rappeler quoi. J'entras, je senti une douce odeur de viande. J'allais voir le tavernier. Pendant que je traversais la grande salle bruyante, un homme me fixa, ce leva d'un coup de sa table et courut dehors en s'écriant "nous sommes sauvés !". Je demanda le plat du jour au Tavernier, il me montra une table, puis il entra dans la cuisine. Je m'asseyais, et le Tavernier revint avec une grandes assiette d'argent sur laquelle un poulet cuit et odorant fumait. Il la posa sur la table, je dévora le poulet des yeux.
"2 pièces d'argent s'il vous plait."
Je sortit 2 pièces d'argent et je lui tendus. Aussitôt, il prit un air surpris et écarquilla les yeux.
"Qu'y a t'il? Demandais je, ces pièces ne conviennent pas?
-Ce ne sont pas des pièces d'argent ordinaire, ce sont des Phoenix d'argent !
-Valent t-elles une telle surprise ?
-Dieu oui, cette monnaie est strictement interdite depuis le siège ! Elles valent la peine de mort !
-Je vois... Vous ne les accepterais pas ?
-Oh si, j'ai peut être peur de la mort, mais je ne vais certainement pas me résigner à une monnaie faite par des lâches."
Je ne comprenais pas. Mais, en y réfléchissant, je trouva une explication et peut être une réponse à mes questions. Monnaie interdite, siège, soldats faisant peur au villageois, bagnards travaillant à la mine, traître, guerre, Phoenix.... Tous laissent penser qu'une guerre c'est déroulée ici, et que cette ville, pourtant défendu de muraille imprenable, à été assiégée.
Le tavernier reparti dans la cuisine en chantant fièrement. Une parole me sembla familière: Phoenix.
Soudain, je fus pris d'un grande douleur à la tête, ma vie devint floue, se perturba. Malgré l'imprécision de ma vue, je distingua très clairement ce qu'il y avait devant moi a l'instant. Une oiseau. Une grand oiseau de feu et de cendre, posé sur une pierre au fond d'un cratère, dans un volcan. Il était debout, les ailes déployées formant des voiles de feu, sa tête dressée vers le haut. Il me regardait, le Phoenix me regardait, et au moment où je plongea mes yeux dans ses yeux oranges, une flamme rouge s'éleva vers moi, et les yeux se perdirent dans un tourbillon de feu et de cendre.
"Monsieur ? Vous allez bien ?"
Je releva ma tête, j'étais dans la taverne, je n'avais pas bougé, assis sur ma chaise, devant mon assiette presque vide.
"Monsieur ? Répéta le Tavernier.
-Oui, je vais bien...
-Voulez vous un verre d'eau?
-Volontiers.
Le tavernier m'apporta de l'eau que je bus cul sec.
-Vous devriez partir, je vais fermer, le couvre-feu m'empêche de rester ouvert la nuit. "
Sans rien dire, je me leva et je sorti. Dehors, la nuit était fraîche, le village peu éclairé, mais les murailles splendides et lumineuses.
Il était clair que j'avais eu une vision d'un Phoenix me regardant, mais je ne savais pas ce que cela signifiait.
Je ne savais quoi faire, si je devait aller dans la ville ou pas. Une simple erreur pouvait me valoir la mort.
J'errais dans la rue, espérant qu'une solution vienne à moi d'elle même. Les nombreux gardes allant et venant dans la rue ne me reconnaissaient pas, ils ne me prêtaient aucune attention.
Quelqu'un sortit d'une vielle maison en ruine. Il était vêtu d'une grande et épaisse robe noir, sale et déchirée, sa tête était cachée par son capuchon rabaissé. Il tenait un pot d'encens fumant dans la main gauche. Il s'approcha en criant: « Oyez, paysans ! Le dernier enfant du Phoenix est arrivé, apportant la paix et la vengeance ! Nous sommes sauvés ! ». Un soldat répliqua sèchement:
« Rentrez chez vous vieux fou ! Ce temps de vengeance n'arrivera pas, Phoenix est conquis.
-Vous allez regretter ces paroles, quand cet homme - il me montra du doigt - vous terrassera.
-Moi?
Il vint devant moi.
-Oui, vous. Vous êtes maintenant le seul à pouvoir nous sauver.
-Je ne vois pas de quoi vous parlez, je ne suis pas un enfant du Phoenix comme vous le dites.
-Oh si regardez.
Il m'attrapa la bras gauche et releva ma manche jusqu'au coude. Et je vis sur mon bras, un tatouage représentant un oiseau noir enchaîné à un rocher, les ailes repliées et la tête baissée. Le vieux reprit la parole.
-Il se meurt, le Phoenix se meurt, allez à sa rencontre avec les autres enfants du Phoenix, et faites le renaître en embrasant son regard.
La vision du Phoenix me revint, ailes déployées, tête dressée vers le haut, me regardant.
La vision disparut aussi soudainement qu'elle est apparue.
À la vision du tatouage, les quelques gardes qui étaient là dégainèrent leurs épées et me coururent dessus. Sans réfléchir, mes jambes se mirent à courir. Je passa entre deux gardes espacés, et m'engagea dans une ruelle. Une garde bloqua l'autre coté, je sauta donc sur un tonneau posé par terre, et je monta sur un toit. Je me remis à courir, et je sauta de toit en toit. Une brique mal posée me fit trébucher, je tomba du toit sur lequel j'était, et je retomba sur sur la route.
Les gardes m'entourèrent. Soudain, ils regagnèrent leurs armes et laissèrent place à d'autres soldats, mieux armés, équipés d'armures de fer et de grands boucliers. Ils formèrent un cercle autour de moi, ne laissant aucun espace entre les boucliers pour ne me laisser aucune chance de m'enfuir.
Trois soldats entrèrent dans le cercle et s'approchèrent de moi, hache de guerre à la main, l'un d'eux ricanait doucement. Ma fin était proche, j'était terrifié.
À suivre...
Dernière modification par GabRay (28/11/2014 10:38:08)
Gab en fait j'ai toujour aimé le héros qui devient méchant si tu fesait dd mon personage un ancien gentil devenue méchant et qui redevient gentil j'adorerait ;) ça montre que le personage est ''humain'' dans son coportement meme si je suis pas humain ^^
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Si le feu est l'instrument de la guerre...alors la glace est l'instrument de la paix.
Bah euh j'ai déjà prévu quelque chose pour toi :3
Pis je suis pas sur de savoir comment faire ton perso comme ca
Bon j'attend avec impatience le reste =D
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Si le feu est l'instrument de la guerre...alors la glace est l'instrument de la paix.
Pour ton personnage j'ai de quoi le faire méchant puis gentil.
Désolé si le rp n'avance pas beaucoup :/