Il était une fois un Roi et une Reine qui habitaient un tout petit royaume dont, seules, quelques anciennes cartes dessinées par de vieux scribes révèlent encore l'existence.
Les quelques habitants de ce petit pays étaient très heureux. Ils cultivaient leurs terres, élevaient quelques troupeaux, et tissaient eux-mêmes leurs vêtements avec la laine de leurs moutons.
Ce royaume était très isolé du monde qui existait alors. Niché au fond dune vallée, entouré de hautes montagnes chapeautées de neige, il ne recevait pas de voyageurs.
Là, les fées, les enchanteurs, les génies bons ou mauvais ne venaient jamais. Seul, un grand oiseau au plumage bleu de mer se posait parfois sur le faîte d'un haut rocher qui dominait l'entrée de la vallée. Il restait là, paisible, les ailes entrouvertes. Pendant quelques minutes il regardait les paysans qui travaillaient dans la joie, il écoutait chanter les enfants puis, poussant un cri très doux qui ressemblait à celui de la colombe, il reprenait son vol, et, d'un coup d'aile, disparaissait dans le bleu du ciel.
Le Roi et la Reine avaient un petit garçon qui était toujours très sage. Ce petit garçon s'appelait Backerei. Il apprenait déjà à tondre les moutons, à arracher les mauvaises herbes et à tisser les fibres de laine.
Le Roi, la Reine et Backerei vivaient donc très heureux dans ce petit coin de la planète jusqu'au jour jusqu'au jour où un énorme vautour tout noir vint planer au-dessus du royaume, puis, après avoir tourné quelques minutes dans le ciel, s'abattit sur le troupeau de moutons qui appartenait au Roi. Tout de suite celui-ci et son épouse, s'étant armés de bâtons, se précipitèrent pour défendre les pauvres bêtes qui s'étaient mises à bêler de terreur. Déjà, l'affreux rapace avait saisi un agneau dans ses serres et s'élançait vers les montagnes, quand le Roi saisit son arc et, dune flèche bien ajustée, transperça une patte du méchant oiseau noir qui relâcha le pauvre animal sur une meule de foin. Mais, de rage, le vautour se jeta sur la Reine et lui fit une profonde blessure avec son bec, puis, d'un coup d'aile, disparut dans un nuage. La Reine poussa un grand cri et s'évanouit.
Très vite le Roi la fit transporter sur son lit, mais la Reine ne reprit pas connaissance.
Le lendemain matin, la Reine semblait toujours dormir. Une semaine se passa. Puis d'autres semaines. Elle était toujours allongée, immobile et ses yeux ne s'ouvraient pas.
Backerei était très triste de voir sa maman si gravement malade et, tous les soirs, il pleurait longtemps avant de s'endormir. Le Roi avait convoqué les anciens du royaume qui savaient guérir les blessures mais, ni les pommades les plus secrètes, ni les plantes les plus efficaces n'avaient réussi à sortir la Reine de son profond sommeil.
Une nuit, alors que le petit garçon pleurait tout seul dans son lit en pensant à sa maman, un léger bruit qui ressemblait à un froissement de soie se fit entendre à la fenêtre puis, quelques coups discrets furent frappés au carreau. Backerei se leva très vite et, sans faire de bruit, ouvrit lentement la fenêtre. Quel ne fut pas son étonnement, quand il vit devant lui, perché sur une branche d'arbre, le grand Oiseau Bleu qui, parfois, se posait au sommet du haut rocher.
N'aie pas peur, petit Backerei, dit tout de suite le bel oiseau, n'aie pas peur, je suis venu pour t'aider ! La voix de l'oiseau était douce et grave comme la voix de celui qui connaît beaucoup de choses et qui ne parle que dans les moments importants. Je sais que tu es un petit garçon très sage, continua-t-il, et que la maladie de ta maman te cause beaucoup de chagrin. Le vautour qui a blessé la Reine est une méchante fée qui veut semer le désordre dans le pays de ton père parce quelle est jalouse de votre bonheur. Mais je puis t'aider à guérir ta maman si tu fais preuve de beaucoup de patience et d'un grand courage. Es-tu prêt à affronter de grands dangers ?
Mais oui, répondit Backerei, mais oui monsieur l'Oiseau Bleu, dites-moi vite ce que je dois faire !
Tu devras pour cela délivrer la Fleur d'Amour, la cueillir et la planter dans la poussière d'or afin quelle ne meure jamais. Cette fleur se trouve dans le jardin des fleurs enchantées.
Mais tu ne pourras entrer dans ce jardin que lorsque les étoiles brilleront dans le ciel, et si tu n'as pas cueilli la Fleur d'Amour avant que la dernière étoile ne soit éteinte, tu ne pourras plus jamais en sortir et tu seras toi-même changé en fleur !
Et la poussière d'or, Monsieur l'Oiseau Bleu. Où trouverai-je la poussière d'or ? Demanda le petit garçon.
Si tu réussis à cueillir la Fleur d'Amour, tu sauras où trouver la poussière d'or.
L'oiseau se tut un instant puis, fixant son regard dans les yeux fiers de l'enfant, il ajouta :
Pour t'aider dans ton entreprise, je vais te faire trois cadeaux : Ces bottes, ce chapeau et ce bâton de pèlerin.
Puis dans un grand battement d'ailes, le grand Oiseau Bleu s'envola dans la nuit et disparut dans les étoiles. Backerei se recoucha tout pensif et s'endormit bien vite. Les trois cadeaux du grand oiseau s'étaient déposés tous seuls dans la chambre. Cette nuit-là, le petit garçon rêva de l'Oiseau Bleu, du jardin des fleurs enchantées, de la Fleur d'Amour et de la poussière d'or
Le lendemain matin, lorsque le petit prince se réveilla, il courut tout de suite vers la fenêtre pour voir si l'Oiseau Bleu était revenu. Les champs s'étendaient paisiblement autour du château, sous le soleil. Le ciel était bleu, sans nuage, et tout paraissait tranquille. Mais l'oiseau n'était pas de retour. Seule, une grande plume bleue était accrochée à un arbre, tremblant au souffle de l'air, comme une preuve de son passage.
Backerei alla embrasser sa maman qui semblait toujours dormir, mais il ne dit à personne ce qu'il avait vu dans la nuit.
La journée se passa, calme. Le soleil baissa dans le ciel, se cacha derrière les nuages, le soir s'approcha et la lune apparut.
Très vite, l'enfant retourna dans sa chambre, mais au lieu de se coucher comme tous les soirs, il alla chercher les trois cadeaux que lui avait offerts l'Oiseau Bleu. Il les contempla quelques instants et hésita, éprouvant une légère appréhension, puis, bravement, il chaussa les bottes qui étaient juste à sa taille mit le chapeau sur sa tête et s'empara du bâton de pèlerin.
Alors quelque chose se passa qui fut merveilleux Le jour sembla se lever au début de la nuit. Les champs et les montagnes s'éclairèrent dune douce lumière. Mais le ciel restait sombre et la lune et une étoile, déjà, tremblaient comme un regard en exil de la Terre.
Backerei grimpa sur le bord de la fenêtre puis, d'un bond de chevreau, se retrouva dans l'herbe. Tout de suite, une brume s'éleva derrière lui, à ce point que, se retournant, il ne vit déjà plus le château de son père. Peu à peu, tout disparut à ses yeux à part le ciel où la lune et l'étoile scintillaient.
Depuis un moment, le petit prince ne sentait plus le sol sous ses pieds. Ses bottes l'emmenaient très loin, bien au-delà des champs, escaladant les montagnes, planant au-dessus des lacs, des vallées, des rivières. La brume qui lavait entouré au début s étant dissipée, le petit garçon se rendit compte qu'il survolait la Terre entière en un voyage merveilleux, dans une sorte de pénombre qui n était ni de la nuit, ni du jour et dont les couleurs étaient tout de même très gaies et presque mouvantes.
L'espace d'un instant, il se prit pour un petit Poucet qui aurait emprunté les bottes de l'Ogre. Mais chaque enfant qui rêve ne s'est-il pas chaussé de bottes de sept lieues ? Backerei volait volait au fil des secondes qui se succédaient, au fil de la lune et de l'étoile qui brillaient, au fil dune autre étoile qui s'alluma
Et puis, brusquement, le voyage s'arrêta. Le petit garçon se retrouva dans une grande prairie où paissaient paisiblement des animaux étranges qui avaient en même temps la gravité tranquille du bœuf et la légèreté du chamois. Une longue haie faite de hauts rosiers pleins d'épines obstruait l'horizon. Un portail formé de branches tressées de toutes les couleurs s'ouvrit devant lui.
Backerei s'approcha. Il n'avait pas peur ! Mais une légère angoisse s'était emparée de son cœur. Il sut qu'il était devant le jardin des fleurs enchantées.
Mais il se rappela les mots de l'Oiseau Bleu : Tu ne pourras entrer dans ce jardin que lorsque les étoiles brilleront dans le ciel, mais si tu n'as pas pu cueillir la Fleur d'Amour avant que la dernière étoile ne soit éteinte, tu ne pourras plus jamais en sortir et tu seras toi-même changé en fleur !
L'enfant s'approcha du portail. Il regarda le ciel. Les étoiles s'allumaient, chacune plus lointaine, comme autant de signes d'encouragements. Sans hésiter, le petit prince entra.
Backerei fut immédiatement saisi dans un tourbillon de senteurs extraordinaires. Une foule de parfums se mêlaient en un seul, semblant émaner de partout et s'élevant vers le ciel. Un horizon de fleurs s'étendait devant lui. Des fleurs de toutes couleurs, de toutes espèces. Et les fleurs l'appelèrent : Cueille-moi cueille-moi
Le petit garçon se baissa et en cueillit une, puis deux, puis trois. Et les fleurs s'inclinaient, lui ouvrant un chemin magique, lumineux, tel un rayon de lune qui se serait allongé sur le sol
Cueille-moi cueille-moi continuaient-elles, je suis la plus belle je suis la plus belle ! Mais toutes étaient plus somptueuses les unes que les autres ! Et l'enfant cueillait cueillait cueillait !
Quand il se retourna, au bout d'un moment qu'il ne put évaluer, il s'aperçut que le portail avait disparu et que le jardin des fleurs enchantées avait grandi grandi jusqu'à l'infini Au-dessus, les étoiles brillaient dans un ciel de nuit, mais le jardin était éclairé comme en plein jour.
Bientôt, le petit prince se ressaisit et se dit qu'il n'était pas venu dans ce jardin pour cueillir des fleurs, si belles fussent-elles mais bien pour trouver la Fleur d'Amour ! Il décida alors que ce bouquet était bien encombrant et pensa qu'il ne pourrait que le gêner dans son entreprise. Aussi, en un grand geste, il jeta les fleurs au-dessus de lui. Celles-ci tournoyèrent en l'air un instant, créant ainsi un joli nuage de couleurs puis retombèrent au sol. Lune d'elles, plus grande et plus belle que les autres et qui semblait être une princesse, se redressa et tourna vers lui sa corolle aux teintes d'arc-en-ciel :
Puisque tu as eu la gentillesse de nous cueillir, dit-elle dune voix à la senteur de miel, nous allons te donner une récompense : Suis le chemin de lune que nous allons t ouvrir et tu parviendras au château de la Fleur d'Amour.
Alors les fleurs se replantèrent dans le sol, toutes seules, l'une derrière l'autre, sur deux rangs, formant ainsi un large sentier de lumière que se mit à suivre le petit garçon.
Backerei marcha longtemps longtemps. Quand il était trop fatigué, les fleurs s'inclinaient un peu et, le soutenant sous les épaules, l'aidaient à continuer d'avancer. Il n'était pas très rassuré, le petit garçon, mais comme il était très fier et très courageux les fleurs ne sen aperçurent même pas !
Enfin, il parvint au bout du chemin, à la dernière fleur. Alors, rompu de fatigue, il tomba par terre et s'endormit
Lorsque Backerei se réveilla, quelques moments plus tard, les fleurs avaient disparu et, loin devant lui, sur une montagne faite de pierres et de rochers se dressait un grand château surmonté d'un donjon si haut qu'il semblait rejoindre les étoiles. Plus près, créant un obstacle infranchissable entre lui et la montagne, s'étendait un grand lac dont les eaux reflétaient la nuit du ciel. Le lac était tout noir et, près des rochers, perchés sur de grosses pierres, trois redoutables vautours semblaient monter la garde, tel des barbares sur des tours de guet. Le petit prince pensa qu'il ne pourrait jamais parvenir jusqu'au château car le lac était très grand et lui-même était beaucoup trop petit pour pouvoir le traverser à la nage. Très triste, il s'assit au bord de l'eau, se demandant ce qu'il pourrait bien faire.
On était au milieu de la nuit et les étoiles, si elles brillaient encore de tout leur éclat, ne tarderaient plus à s'éteindre. C'est alors que le petit garçon fut pris dune grande soif. Prenant le chapeau que lui avait donné l'Oiseau Bleu, il le remplit d'eau et le porta à ses lèvres. Mais quelle ne fut pas sa surprise de voir le chapeau lui échapper des mains et se mettre à grandir grandir tellement que toute l'eau du lac se retrouva dedans ! Si bien que la grande nappe d'eau fut bientôt transformée en une vaste prairie au bout de laquelle se dressait la montagne de rochers.
Aussitôt l'enfant se mit à courir et, les bottes lui faisant faire des bonds gigantesques, il se retrouva très vite au pied de la montagne de pierre.
Mais le petit prince n'était pas au bout de ses peines ! Devant lui, l'un des méchants vautours qui gardaient le lac, ouvrait déjà ses grandes ailes et faisait claquer son bec crochu et plein de menaces. Faisant semblant de ne pas avoir peur, Backerei, aussi brave que le Roi son père, brandit le bâton que lui avait donné l'Oiseau Bleu.
Le vautour se mit à rire :
Que comptes-tu faire, tout petit que tu es, avec ce bâton grand comme une allumette ?
Mais le bâton se mit à grossir grossir jusqu'à devenir une énorme massue qui, s'échappant des petites mains de l'enfant, se précipita en tournoyant vers le rapace qui, pris de peur, s'envola à tire d'ailes dans le ciel, entraînant dans sa panique les deux autres gros vautours noirs.
Ne perdant pas de temps, Backerei commença tout de suite à grimper dans la montagne. Il avait récupéré la massue qui était redevenue un bâton normal. Mais il était de plus en plus fatigué. Les pierres et les ronces lui écorchaient les mains et les genoux et il commençait à beaucoup souffrir.
S'arrêtant un instant sur une grosse pierre plate, il voulut se reposer un peu et s'appuya sur le bâton. Et c'est alors qu'une autre merveille s'accomplit : Le bâton se mit à s'allonger s'allonger et, soulevant le petit garçon jusqu'au donjon, le déposa au pied dune petite fenêtre.
Le ciel commençait à s'éclaircir et, déjà quelques étoiles s'éteignaient. La nuit palissait et la lune perdait son sourire.
Backerei avait bien envie de s'endormir, mais la pensée que sa maman serait guérie sil trouvait la Fleur d'Amour lui redonna un dernier sursaut de courage. Alors, se hissant vers la petite fenêtre en s'écorchant un peu plus les pieds, les mains et les genoux, le petit prince vit enfin ce qu'il cherchait depuis la tombée du jour : Une fleur une fleur dune beauté inoubliable, dont les pétales étaient de velours lumineux aux mille couleurs, aux mille nuances. La plante se trouvait prisonnière sous un globe de cristal et sa tige était enchaînée par des ronces.
Deux étoiles brillaient encore dans le ciel. La nuit, maintenant, ne se défendait plus contre le jour qui pointait à l'horizon. Très vite, Backerei brisa un carreau de la fenêtre. Une bouffée d'air, telle une explosion de joie, pénétra dans la pièce et fit se transformer le globe de cristal en une eau dune grande pureté qui se répandit en gouttelettes au pied de la Fleur d'Amour. Les ronces s'écartèrent. Le petit prince entra dans le donjon et, délicatement, l'enfant cueillit la fleur.
C'est à ce moment qu'un bruissement feutré se fit entendre. Sur le rebord de la fenêtre, les ailes un peu pendantes, se détachant sur le ciel que la nuit venait d'abandonner au jour, l'Oiseau Bleu s'était posé.
Petit garçon, dit-il de sa voix grave et douce, ton courage et ton amour pour ta maman t'ont permis de trouver la plus belle fleur du monde. Monte sur mon dos et partons.
Backerei s'envola très haut très haut sur le dos de son oiseau. Au-delà des nuages au-delà même de la lune. Une étoile, encore, n'était pas éteinte et semblait les attendre, scintillant doucement dans sa dernière lutte contre le jour. L'enfant et son oiseau sen approchèrent et, de son bec, l'Oiseau Bleu recueillit un peu de la poussière d'or qui recouvrait la surface de l'étoile
Lorsque le petit prince se réveilla dans sa chambre, le lendemain matin, il régnait une grande agitation dans le château. La Reine était guérie ! Prés de son lit, une superbe fleur aux couleurs étranges et qui ressemblait au sourire d'un enfant, se dressait dans un vase de cristal rempli dune fine poussière dorée. Prés du vase, une plume bleue tremblait légèrement dans l'air. Sous la fenêtre de la chambre, sur un immense parterre, des fleurs de toutes couleurs et qui semblaient être nées dans la nuit, s étiraient vers le soleil, paraissant avoir poussé dans le jardin d'un rêve.
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WTF !!! J'ai jamais vu ca sur le forum : quelqu'un qui raconte des histoires de contes de fées, je ne me moque pas c'est juste que je trouve ca bizarre.
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I'm zombie, I'm zombie pig.
C'est ce qu'on appelle un réglement de compte entre Nimovitch et Backerei. Rien de plus simple ^^
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Escadya ma Maman Cube <3 =D
Que c'est il passer pour en arriver a des extremiter pareil! ?! ^_^
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~Apg1808~ Le 2000ème message ! (6 ans sur Fr-M)
C'était plus ce midi : ce matin, je n'avais pas la connexion. A bon entendeur, salut ! :)
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Escadya ma Maman Cube <3 =D
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~Apg1808~ Le 2000ème message ! (6 ans sur Fr-M)
Mais a propo de quoi? Que Back est il sense avoir fait (ou pas fait :p) ?
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Si c'est tout de toi Nimovitch, je trouve que c'est bien ecrit. Mais alors quelle idee de perdre des heures a ecrire ca...
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Herobrine left the game.
J'adore cette histoire merci! :)
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-Mec!J'ai fait une tarte!
-Quelle saveur?
-Saveur de la tarte...
C'est tout mignon, tout rose, tout beau <3
Très bien écrit, t'as même réussit a me captiver
Blood
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