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A l'heure ou ma plume gratte ce parchemin, malgré l'incertitude qui règne sur la Terre Des Mines en ces temps incertains de violence et de combats, je ne peux que me réjouir des récents évènements survenu sur nos côtes…
En tant que scribe de la faction pirate des Tipiak, Gloire et prospérité à leur héros, je me dois de retranscrire le vaillant combat que nous avons livré contre l'Ennemi.
Le Traitre, Frenky, avait en effet gouté au pouvoir et en avait abusé de façon malhabile dans de sombres desseins personnels. Notre Chef et Maître des Armées, Pierre, l'empêchât de détruire notre solide cohésion en lui retirant son pouvoir de commander en Son Nom. Frustré, jaloux, le triste personnage quitta alors nos terres fertiles pour se rendre dans la capitale commerciale de La Terre des Mines en quête de main d'Œuvre. Il recrutât alors les pires scélérats que la terre est portée, des voyous sans honneur et sans scrupules près à violer les bêtes et massacré les femmes. (Voir le contraire) Il fondât la faction des Oris, maudit sois ce nom et qu'il pourrisse a jamais dans les tréfonds de l'oubli, et construisit une forteresse noir, dépourvue de charisme, dédié à la félonie.
Je tremble encore en me souvenant de ma première vision de ces murailles faites de pierre broyé, recouvertes de lave fumante et ruisselante…
Sans prévenir, l'ignoble personnage lança ces troupes sur ceux qui furent à nos balbutiements ces frères d'armes, qui fauchairent avec lui les blés, construisirent notre solide place-forte, et sans déclarer la guerre dérobât notre grimoire, plusieurs de nos ressources et éventrât sans pitié nos bétails.
Tel un fourbe creeper, Il assiégeât alors nos murs et tentât de construire dans une zone d'ombre une sombre machine pour détruire nos défenses. Mais ses grandes connaissances alchimiques ne lui permirent cependant pas de faire fonctionner la terrifiante structure.
Fier de son méfait fait dans l'ombre, sans véritable combat loyal en face à face héroïque, le Traitre nous demandât alors quand serrais notre reddition…
Nous sommes un peuple fier et même devant une tel ignominie, nous avons gardé courage et force, reconstruit, repeuplés nos enclos qui a en ce moment même regorges de moutons, de poules, de vaches et de cochons. Nous avons puisé dans nos connaissance et celles de nos alliés, bénis soient-ils, pour réécrire un autre grimoire, plus puissant, nous conférant des sort dévastateurs sur nos sabres.
Puis, nous avons réfléchit et élaboré un stratagème pour contre-attaquer. Nous avons testés nos méthodes sur de petits groupes de pauvres fous qui avaient osé s'en prendre à nous, pour ensuite donné l'assaut. Ayant offensé les Dieux par de sombres paroles, le traitre fût bannis dans une dimension maudite pendant trois jours et trois nuits, et sa faction se retrouva seul et dépourvue de commandement. En effet, la faille des Oris était le manque d'autonomie des guerriers et le manque de confiance de leur chef, qui ne quittait jamais sa bourse dans laquelle sommeillait l'argent de la faction. Sans chefs ni écus, les troupes de couardes et de manants qu'était les guerriers Oris se cachèrent tel des rats dans leurs grottes sans même engagé le combat avec nos vaillant assaillants.
Nous grimpâmes aux murailles en la recouvrant d'eau, puis nous recouvrîmes leur sol de lave du sommet jusqu'à l'entrée de leur salle des coffres, réduisant la citadelle en un conglomérat de magma triste et sans âme.
Bloqué contre le mur de sa salle principale, Le traitre, Frenky, affrontât alors à son retour en duel notre chef dans un furieux combat à l'épée taillé dans le diamant pure. Mais notre entrainement intensif contre les créatures de l'Ombre lui permis de le désarmer et de pointer contre son cœur son sabre acéré. Pierre se retournas alors vers ces troupes pour demander quelle sentence infliger à celui qui fût des nôtre avant que le pouvoir ne le ronge, mais ce dernier en profitât pour actionner un levier et s'échapper par une porte dérobée, laissant sa faction sans terre ni chefs, forçant ces troupes à déserter et nous apportant la victoire.
Notre victoire sur les Oris fût donc complète et Pierre lançât son célèbre cri de ralliement qui résonnât contre les murs de la forteresse tombée entre nos mains : « Suivez-moi bande de péons !!»
Bénis sois la faction des Tipiak et prospères ces alliés, que le traitre revienne, nous serons toujours là pour le recevoir comme tous nos ennemies…
Oldo, Scribe et pirate des Terre des Mines, Faction des Tipiak
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J adore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Très bien réaliser.
J'aime.
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